melting pot et vin blanc doux.
Si on disait que tu me verserais encore un peu de vin. Là, pas trop. Dis, quand même, un peu. Je suis grise, et alors ? je suis grise d’argent, pas de tristesse absconse. Y’a du rire en cascade qui chante en solitude dans tellement de cœurs. Moi j’en ai rien à foutre. Je bois, je fume, et j’attends lendemain en songeant des drôlesses, des improbabilismes que je calcule par approximation jusqu’à trois décimales quand chus un peu bourrée. Là, j’ai pas assez bu, redonne m’en encore. Il est bon. Sucré âpre. Plein de jouxte fenêtres et de contre reflets. T’aimes pas quand je dis ça. Normal, t’es rectiligne parallélépipède. Même quand tu mimes la théorie des gaz on voit tes esquisses 3D. A travers les facettes du verre. Sinon, c’est bien plus dur, comme une polésie. Le secret c’est le code. Viens, je te dis le mien. Si on disait que tu me verserais encore un peu de vin. Je suis grise d’argent, pas de tristesse absconse.