11 janvier 2014
Il y a quelques mois
après le millième refus (poli) d'un éditeur, je me suis dit, comme à chaque fois : laisse béton. C'est toujours comme ça que je réagis dans les heures qui suivent un refus, surtout quand celui-ci est agrémenté d'éloges. J'ai boudé trois jours, et puis...