26 janvier 2009
Sous le chapiteau de la reine...
Retourner à mes dix-sept ans après avoir vécu un siècle…
Un peu désuète, un peu obsolète, et pourtant, même sans nostalgie d’époques révolues, la señora Parra me fait encore pleurer, les jours où les nuages sont bas. Quand on naît tragédique, on ne s’en remet pas, et les plus grands honneurs ou les plus belles chansons ne servent pas de rien. Elle s’est foutue en l’air toute seule dans son cirque au bout d’un demi-siècle, sérieuse comme un gosse qui converse avec Dieu. Plus con, tu meurs, et pourtant, et pourtant, si on s’oublie à l’écouter chanter un peu plus qu’un instant… (encore que là, je ne suis pas sûre que ce soit elle qui chante)
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