29 février 2008
entre-deux (et trois zéro ?)
Laissez, que la pluie conte les camaïeux de gris. Si vous écoutez bien vous percevrez le parme, et la pointe rosée qui s’accroche déjà aux pivoines encore sèches, le gratton de vert mousse en reflet sur les branches, un écho de champagne, le poil fauve...