21 octobre 2011
Polésie à ma mère.
Elle disait le bonheur, c'est facile : comme de faire du vélo sans les mains, comme de danser jusqu'au petit matin. Elle disait dévorons, les cerises du voisin, il en a des milliasses, les abricots coulants de soleil ardéchois, les tagines d'Habiba, elle...