7 septembre 2010
Aujourd'hui
alors que je sue sang et os sur une histoire de l immigration en France (en anglais sivouplé) pour une édition spéciale du webmag swans (en lien), un choeur de malcontents chante l Internationale sous ma fenêtre ouverte, et le croirez-vous, ça me ravit et ça me fluidifie le neurone. Anda. No pasaran, y comme dit mon fils aîné, tout content de sa trouvaille, The People United, never will be defeated.
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