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Melting Pot et vin blanc doux
7 septembre 2009

Vous êtes tout petit, monsieur le Président !

Vous vous souvenez de cette photo ?
mitterrand_kohl
J'étais à l'époque une toute jeune enseignante, et certains de mes élèves (que sont-ils devenus) m'avaient dit que l'image de la France se trouvait rétrécie au mètre soixante-dix de Monsieur Mitterrand. J'aimerais les retrouver aujourd'hui, et leur demander ce qu'ils pensent de l'image d'un pays qui doit se couper les jambes pour rester à la hauteur du président qu'il s'est élu.
S'il avait dû commémorer Verdun en compagnie de Monsieur Kohl, Nicolas Sarkozy aurait-il exigé qu'on creuse un trou sous les pieds du chancelier allemand pour n'avoir pas l'air d'être, sur la photo, rien d'autre que ce qu'il est ?

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Commentaires
O
A coups de lattes?si, mais ça dépend où! Dans les gencives, c'est pas mal!<br /> Ne rien laisser passer... <br /> ou alors jouir, comme ce prof à la retraite qui va de temps en temps dans la cité où il a enseigne;Il va rire en voyant ce que sont devenus ses anciens élèves "difficiles"...Il ricane en les vouyant paumés, sortant de taule ou en passe d'y entrer, les filles plus ou moins putes oiu dépassées par une floppée de marmots atroces, exténuée par les tâche ménagères avec, parfois un type qui les cogne, etc...<br /> ... Il se tape sur les cuisses en les découvrant toxico foutus..."Ah! dit-il, vous avez gaspillé l'argent du peuple en sabotant l'école? A vous de payer! Vious n'en sortirez jamais, cela est juste et bon" Il murmure aussi "fallait m'écouter" et après, s'en va dîner dans un bon restaurant pour célébrer la justice, l'harmonie, le bon goût du destin qui fait que ses anciens bourreaux en prennent plein la gueule! <br /> <br /> Pendant ce temps l'Unicef essaie de construire des écoles dns le Tiers-monde, ce qui n'est pas toujours apprécié des dictateurs et des religieux...
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C
qu'on en ait ri, ni même que ça ait posé question.<br /> On n'y a vu, ce jour là que ce qu'il fallait voir: Les deux mains serrées, comme nos gorges.
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M
ce fut un grand moment, sans doute, puisque je l'ai encore en mémoire plus de vingt ans après. quant-à déclarer la guerre à mes élèves, vous n'y songez pas! on n'éduque pas les enfants à coups de latte.
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O
Moi, ça ne m'a pas fait rire.Mare de ces srcasmes, de cette rigolade obligatoire.Je me fous de la taille des gens et si j'&vais eu des élèves osant pêtre aussi con, c'eût été la guerre totale, la punition générlisée, le refus de continuer d'enseigner ... Ce moment fut pour moi une grande émotion. J'i un coeur...Et une mémoire qui me dépasse.avec une amis allemande, nous avons parlé de nos grands-pères en 1914. Avec leurs fusils pour tirer l'un sur l'autre.Deux hommes qui furent courageux et se conduirent bien, selon les critères de la guerre.Ils se battirent et ne portèrent pas leurs médailles, dégoûtés de la guerre... On a bu un verre, émus de voir que nous étions là, ensemble... Et que les fusils de nos grands pères étaient remisés on ne sait où...Nous étions européens plus que d'hbitude ce jour-là..;Comme Khl et Mitterrand qui n'étaient plus des dirigeants contestables, mais des gens sincères qui y croyaient...<br /> Ceux qui ricanent m'horripilent de plus en plus...Ces défenses d'angoisse ne sont que manque d'amour...Ne peut-on pas redevenir humains, vrais, simples, sans sarcasmes obligatoire? <br /> Ce fut un grand moment...solennel, oui...
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M
et moi donc !
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