Les meilleures choses ont une fin…
Jusqu’à aujourd’hui. Cette fois, j’ai tout ce qu’il faut pour boucler. Documents administratifs, comptables, techniques, y’a plus qu’à mettre tout ça en ordre et rendre les comptes avec mon tablier à la prochaine AG, au 15 décembre si tout se passe bien. Après ça, et à moins que j’échoue à contenir les assauts quérulents des consorts[1] O. et S., je serai en vacances. Ça va me faire bizarre.
[1] Étonnamment, le consort, et je dis le consort au singulier exprès, tant il est notoire qu’on ne voit jamais qu’une tête de l’hydre qui se cache derrière l’œil glacé DU représentant, est bien plus malfaisant que la somme de ses composantes. C’est ce qu’on appelle le concept d’émergence de l’emmerdement consanguin.