Cours de polésie.
Y’a des débuts, des fins, des contre-jours. Des poussières qui rayonnent sous les cils des persiennes[1]. Des oracles trop brunes[2] aux amertumes de bière[3], ou bien des ciels bleu glace à vriller des pupilles. Des champs de tournesols peindus[4] en pointillés. Le soleil sur la neige. Un châtain en cascade dans des cheveux épais. Y’a des gris, des floutés, ou des reflets de lampe. De la lumière enfin, pour éclairer les ondes[5]. Y’a des débuts, des fins, et puis des contre-jours, de la lumière jusqu’à[6].
[1] Non, c’est pas une femme de Perse.
[2] Bonne remarque, on dit un oracle, mais là c’est pour lui donner un côté sexy ténébreux renforcé par la référence à l’amère bière.
[3] Peut-on raisonnablement supposer que l’auteur a choisi d’évoquer l’amertume de la bière plutôt que celle de la quinine à cause de la proximité du terme avec celui de cercueil, et nous parlerait-il, l'air de rien, de la mort, et du sens de la vie ?
[4] C’est pas une faute. Faut pas prendre les polètes pour des cons. Ca s’appelle une licence polétique.
[5] Ca c’est le prof de physique qui vous y expliquera pendant l’heure d’IDD
[6] Qui c’est le taré qu’à dit jusqu’à quoi ? Et l'un d'entre vous peut-il me dire ce qu’à voulu l’auteur en
suspendant sa phrase à un point prématuré ?