Songez que je vous parle une langue étrangère...
"Depuis près de
six mois, honteux, désespéré,
Portant partout le trait dont je
suis déchiré,
Contre vous, contre moi,
vainement je m'éprouve :
Présente je vous fuis, absente
je vous trouve ;
Dans le fond des forêts votre
image me suit ;
La lumière du jour, les ombres
de la nuit,
Tout retrace à mes yeux les
charmes que j'évite »
(vers 539 - 545)
« For nearly half a year, ashamed and desperate
Wherever I have gone I’ve carried my sorrow,
Against you, against me, vainly I keep trying
When you’re here I flee, I find you when you’re gone
Your face has followed me in the deep of forests
Both the light of the day and the shadows of night
Keep drawing for my eyes charms I want to avoid”
(les mêmes).
Bien sûr, j'ai piqué l'extrait de Phèdre chez M'sieur Houzeau qu'esplique tout bien. là. http://290364.canalblog.com/